La vie de digital nomad selon Jimmy

Saviez-vous que chez Fizzer, chaque membre de l’équipe est libre de travailler où bon lui semble ? Grâce au travail en remote, nous pouvons travailler à 100% depuis notre propre bureau. Et ce bureau, libre à nous de le façonner à notre manière : un bureau fixe à la maison, un bureau dans un café, un bureau dans des coworkings ou dans des Airbnb du monde entier. Certains d’entre nous ont fait le choix de quitter Paris et d’autres de parcourir le monde sans louer de logement en France. C’est le cas de Jimmy, ingénieur Android chez Fizzer qui a visité, en trois ans, plus d’une vingtaine de pays différents. Pays où il fait bon travailler, organisation, Jimmy vous livre quelques conseils pour effectuer vos premiers pas de digital nomad. 

Depuis quand travailles-tu en remote ?

Jimmy portant un t-shirt Mr.Grognon

Je travaille en remote à plein temps depuis 3 ans. J’ai d’abord commencé par me mettre à mon compte pendant mes études pour m’aider à les financer. Puis, après un dernier stage de fin d’étude, je suis parti à plein temps en freelance pour pouvoir voyager, me déplacer et voir le monde.

Au final la vie d’auto-entrepreneur comportait trop de contraintes même si la liberté me plaisait. J’ai donc cherché une mission plus stable qui me correspondait et j’ai rejoint Fizzer en octobre 2018.

Comment as-tu pris la décision de partir voyager seul ?

piscine avec vue sur des buildings pendant les voyages de Jimmy, digital nomad chez Fizzer

Par mon seul désir de voir le monde et beaucoup de coïncidences ! Je ne savais même pas qu’il y avait une si grande communauté de gens qui travaillaient tout en voyageant (digital nomad).

Un ami habitant en Corée du Sud passait en France, et m’a dit « Viens me voir ! ». Le mois d’après,  mon contrat de travail de l’époque se finissait ainsi que mon bail de logement. Alors que des amis qui créaient un studio de Design me proposaient des contrats de freelance, j’ai pris mes billets pour la Corée du Sud avec seulement un sac-à-dos sur mes épaules sans regarder en arrière.

As-tu un pied-à-terre quand tu reviens en France ?

Je reste généralement avec ma famille ou des amis car c’est principalement eux que je reviens voir quand je rentre en France. Avant, je voyageais rapidement dans chaque pays donc je repassais assez souvent en France, mais mon travail chez Fizzer me demandant/m’apportant plus de stabilité, je compte partir sur de plus longues périodes et revenir moins souvent. (Ne soyez pas tristes !)

Dans quels pays as-tu travaillé/ vécu ? Lequel as-tu préféré jusqu’à aujourd’hui ?

Vue sur la piscine à Bali

J’ai vu beaucoup de pays au cours de ces trois dernières années, plus d’une vingtaine ! Sur des voyages allant d’une semaine à trois mois. Pour les périodes plus longues, j’ai vécu à Los Angeles, Bali, Barcelone, Kuala Lumpur et Seoul.

Chaque pays était unique et m’a bien plu. Je n’ai pour le moment eu aucune grande déception mais si je ne devais retenir qu’une seule destination, ce serait Bali. Je trouve l’île vraiment formidable. Elle correspond à ce que je recherche. Le fait que ce soit un véritable nomad hub est mérité par sa beauté et son cadre de vie plus qu’idyllique.

Quelles sont tes prochaines destinations ?

Mes prochaines destinations immédiates sont Istanbul puis Lisbonne à la rentrée, en week-end prolongé pour profiter des lieux avec différents amis en attendant la retreat de Fizzer (séminaire Fizzer d’une semaine à Cabourg et à l’étranger) à Barcelone fin septembre.

Juste après cela, c’est direction l’Asie avec comme première destination Bali pour les raisons citées plus haut. Après cela, je vais partir visiter les autres pays que je n’ai pas encore vu aux alentours sans trop avoir de plan fixe pour le moment !

Comment t’organises-tu pour travailler/ te coordonner avec tes collègues ?

Nous avons une réunion tous les lundis matins en visioconférence pour débriefer de la semaine précédente et voir ce que nous allons faire cette semaine. Cela me permet d’avoir des tâches bien définies pour la semaine et ainsi permettre de m’organiser pour la suite. Le reste de la semaine, les échanges sont plus asynchrones et par écrit, ce qui me permet de m’accorder des zones de focus pour faire au mieux mon travail. Sinon, par vidéo-chat quand cela est nécessaire, notamment pour le point hebdomadaire. Cela nous permet à tous de voir ce qu’il se passe chez Fizzer !

Quelques conseils pour faire ses premiers pas de digital nomad ?

Jimmy sur un jet-ski pendant un voyage

Je dirais que le plus important est de savoir ce qu’on veut (quoi faire, où aller, quoi voir,…) et de bien se connaître soi-même. Il est possible de tout faire, d’être constamment en mouvement par exemple mais cela peut être très fatiguant. Il faut connaître ses limites sans aussi pousser sur l’organisation (je suis la personne la moins organisée que je connaisse !). Savoir ce qu’on veut permet d’avoir un plan de route en tête, une ligne directrice qui est plus facile à suivre plutôt que de s’éparpiller mentalement un peu partout.

Il y a aussi toute une dimension moins intéressante qui est banque, assurance, etc… Il y a maintenant de très bons services dans ces domaines-là qui couvrent tout sans trop de peine.

Enfin, prévoir tout ce qui pourrait être nécessaire pour vous. J’ai, par exemple, une tondeuse et une mini-machine à expresso dans mon sac-à-dos !

Si vous recherchez d’autres conseils sur le travail en remote ou la vie de digital nomad, rendez-vous sur les articles de Hugo, Marc-Antoine, Fp et Claire !